La vache volante… c’est le Hoazín !
Au Pérou, on l’appelle Shansho. Une de ses particularités, c’est cette griffe dont est pourvu l’oisillon, formant une main qui lui permet de grimper à l’arbre après s’être volontairement laissé chuter pour échapper à un prédateur.
Cet appendice fait penser à celui de l’Archéopteryx, que certains considèrent comme le chaînon manquant entre les dinosaures et les oiseaux modernes, et dont le Shansho pourrait être un lointain descendant. Il arrive que des adultes ne perdent pas cette griffe, comme j’ai pu le constater en forêt.
Mais si on l’appelle vache volante, c’est parce qu’il a développé la capacité -inédite chez les oiseaux- de digérer une grande partie de la cellulose des feuilles, comme les vaches ! 🐮 Cependant, c’est un piètre voleur, son système digestif lui faisant prendre un sacré embonpoint !
On rencontre souvent cet animal à quelques encablures de la communauté, autour des cochas, des étangs.
C’est toujours un bonheur de s’y rendre, que ce soit pour pêcher ou aller à la rencontre des animaux, en faisant toujours attention aux quelques gros caïmans susceptibles de vouloir nous passer le bonjour !
Au Pérou, on l’appelle Shansho. Une de ses particularités, c’est cette griffe dont est pourvu l’oisillon, formant une main qui lui permet de grimper à l’arbre après s’être volontairement laissé chuter pour échapper à un prédateur.
Cet appendice fait penser à celui de l’Archéopteryx, que certains considèrent comme le chaînon manquant entre les dinosaures et les oiseaux modernes, et dont le Shansho pourrait être un lointain descendant. Il arrive que des adultes ne perdent pas cette griffe, comme j’ai pu le constater en forêt.
Mais si on l’appelle vache volante, c’est parce qu’il a développé la capacité -inédite chez les oiseaux- de digérer une grande partie de la cellulose des feuilles, comme les vaches ! 🐮 Cependant, c’est un piètre voleur, son système digestif lui faisant prendre un sacré embonpoint !
On rencontre souvent cet animal à quelques encablures de la communauté, autour des cochas, des étangs.
C’est toujours un bonheur de s’y rendre, que ce soit pour pêcher ou aller à la rencontre des animaux, en faisant toujours attention aux quelques gros caïmans susceptibles de vouloir nous passer le bonjour !